Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Aleida Santa Cruz, la culebra
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Aleida Santa Cruz
Aleida Santa Cruz
Messages postés : 5
Date d'inscription : 30/03/2024
Age : 25
Où es-tu ? : Eagle Lake
Dévoiler le secret

Carte d'identité
Race: Undead
Clan: Undead
On RP ? : Oui, j'suis chaud(e)
Revenir en haut Aller en bas
Aleida Santa Cruz, la culebra
  • Santa Cruz
  • Aleida
  • 25 ans d’apparence
  • Femme
  • Mexicaine
  • Poisson
  • Profession / études
  • Etudiante en médecine ; chanteuse ; cambrioleuse à ses heures perdues
▬ ft. Rachel Zegler

Carnation : Hispanique
Taille : 1m58
Corpulence : Très mince
Cheveux : Noir jais
Yeux : Chocolat
Signe(s) distinctif(s) : Cicatrice tout le long du torse, de a naissance du sternum à la pointe du nombril ; écailles de serpent le long de la colonne vertébrale ; souplesse anormale ; cœur anormalement lent
Caractère


RÊVEUSE TÊTUE LOYALE MALADROITE VOLONTAIRE

Aleida est une jeune femme au caractère têtu et volontaire. Elle se voit également de cette façon. A la recherche de son identité - à l'image de bien des jeunes – l’étudiante accuse un comportement parfois ambivalent. Au-delà de son apparence d'adolescente sage, elle est une bonne élève, souvent plongée dans ses cours ou en train de parcourir un roman ou une œuvre historique. Rêveuse, il n'est pas rare de la voir mordiller ses lèvres, le regard dans le lointain. Bien qu'arrivée trop récemment à Eagle Lake, Aleida commence à avoir une réputation de fille solitaire et concentrée sur ses études malgré ses quelques amis. Pourtant, elle aime la vie et le frisson des dangers. Chaque parcelle de son corps et de son âme ne vit que pour cela. N’ayant jamais connu la paix elle ne désire aucunement atteindre un jour l’âge doré de la retraite. Aleida craint l’ennui au point qu’elle refuse généralement les repos trop longs. Profondément marquée par sa mort brutale, et cette sensation de ne plus avoir le temps de vivre, elle ne cesse de courir.

D’une rare curiosité la jeune femme dévore les livres, les différentes oeuvres qu’elle peut trouver. La brutalité du monde auquel a fait qu’elle aime se réfugier dans des histoires diverses ou encore la musique. Bien que facile à vivre Aleida peut parfois se montrer susceptible et innacessible. Cela arrive bien souvent après un échec. Dès lors la jeune femme, au lieu de se mettre en colère, manifeste son mépris et se met hors d’atteinte en boudant. Elle coupe court à toute explication et se renferme sur elle-même.

Comme la majeure partie des personnes, Aleida se comporte différemment selon ses affinités. De manière générale elle se montre assez taquine avec les hommes, n’hésitant pas à les frôler, leur prendre le bras ou encore flirter avec eux. A contrario elle peut se montrer très froide, voir arrogante en cas de profonde déception de la part d’un de ses proches. Rancunière, elle ne pardonnera que peu envers ceux qui lui feront du mal. Ses amis les plus proches restent son équipe auprès de laquelle elle a vécu tant d’histoires qu’elle les considère comme sa famille.
D’un naturel romantique Aleida est une quelqu’un de sensible, éprouvant énormément de sentiments. Malgré cela elle fait d’énormes efforts pour éviter d’être débordé par les pulsions de ses émotions. Ainsi elle préfère savoir sa cabine et ses espaces personnels rangés dans un véritable capharnaüm mais réussir à rester concentrée pendant ses missions et ne pas se laisser faussement trompée par sa peur, sa surprise et autre… Par ailleurs sa façon taquine de se comporter cache sa peur de se trouver en difficulté dans les relations sociales qu’elle ne peut éviter. Aleida a toujours peur d’être mal jugée, critiquée, rejetée et n’a parfois aucune confiance en elle. Ce malaise se ressent dans ses relations amoureuses qu’elle finit toujours par briser par manque de foi en elle-même et sa capacité à aimer… Aleida reste généralement appréciée pour sa bonne volonté et son désir d'aider les autres. Loyale, Aleida est prête à toute pour apporter son soutien autour d'elle même à ceux avec qui elle ne partage pas grand-chose.

Au contraire, Aleida se sait maladroite et cherche réellement à faire attention à ne pas faire tomber ses cours ou à ne pas trébucher ou percuter accidentellement un mur de son épaule. C'était par ailleurs pour ça qu'elle appréciait tant la danse qui l'aidait à se concentrer et à mieux aborder sa propre gestion de l'espace. La jeune femme est également complexée par son fort accent mexicain et tente vaillamment de la cacher avec un parler désinvolte et imitant, avec grande catastrophe, celui de la Californie.

En dehors de son accent marqué, Aleida se distingue par quelques tics et autres détails. Tout d'abord elle est gauchère, et en bonne chrétienne, elle cherche à cacher discrètement cet état. Bien qu'elle ne voit pas cela comme un défaut, les remarques de certains puritains religieux l'ont marqué pendant son enfance. Elle a également l'habitude de mordre sa lèvre et jouer avec ses cheveux lorsqu'elle est mal à l'aise. Nerveuse, Aleida bouge beaucoup et semble toujours remontée, prête à bondir, malgré ses airs rêveurs.  

Enfin Aleida est obsessionnelle, obstinée la cambrioleuse n’arrêtera jamais et ne cessera de poursuivre tous les objectifs qu’ils soient vains ou non. Elle n’hésitera jamais à mettre sa vie en danger - et par la même occasion celle de son équipe qu’elle considère comme sa famille - pour réussir. Son perfectionnisme en est parfois maladif et elle peut paraître rigide dans ses pensées. Cependant rien de cela ne l’empêche d’être créative et rêveuse au point qu’elle a parfois du mal à se faire comprendre, préférant alors jouer un rôle de séductrice.

Histoire



Je suis morte un soir de Juillet à peine âgée de vingt-quatre ans.

Cruelle façon de débuter une histoire n’est-ce pas ? Le conte que je vais vous faire est d’une tristesse affligeante. Née dans la douce péninsule du Yucatan, dans la ville merveilleuse de Mérida, j’aurai pu avoir une vie aussi paisible que le Mississipi. Mon père était un cultivateur d’agaves, une longue tradition familiale tandis que ma mère restait à la maison pour s’occuper de mes trois frères et moi. Pendant les premières années, celles dont tout enfant ne peut se souvenir, nous fûmes une famille heureuse et unie. C’était sans compter sur le fléau miraculeux du Mexique : la drogue.

Papa n’aurait jamais avoué devant sa femme et ses enfants ses dettes. L’agave était une denrée condamnée dans le Yucatan. Les autres états mexicains produisaient bien plus et des qualités mieux adaptées à la tequila. L’agave bleue de nos terres n’étaient bonnes qu’au mezcal, un alcool minable au mieux. En d’autres termes, nous étions ruinés et le Cartel de Sinaloa était prêt à racheter nos champs et même en donner de nouveaux à mon père. Cela signifiait seulement déménager à Tijuana et accepter de fermer les yeux sur les tunnels.

Vous connaissez la suite : plomo o plata. Enrique Di Santa Cruz ne pouvait qu’accepter. Ainsi, petit enfant de quatre ballottée dans les bras de sa mère, nous prîmes la route de la grande ville du Nord. Les promesses étant des promesses, mon père gagnait à peine de quoi nous faire survive malgré ces fameux champs et nous échouâmes dans un des trop nombreux quartiers malfamés. Oubliez la belle image des Spring Break américains et la tequila à prix cassé. Tijuana mérite son surnom de ville la plus dangereuse du monde.

En 2003, la guerre des gangs battait son plein. Il ne se passait pas un soir sans que, dans notre quartier oublié de tous, les rafales de fusils et les hurlements des mourants ne crevassent l’épais silence de la nuit. Mes parents firent tout pour nous épargner mes frères et moi de ces dangers. Nous fûmes éduqués en bons chrétiens, envoyés dans des écoles décentes et tenus éloignés des bandes criminelles.

Mon enfance et adolescent fut clair-obscur. D’un côté je côtoyai la misère tous les jours, le matin en partant en cours puis dès que je remettais les pieds dans le quartier. Notre appartement était miteux, nous mangions qu’à peine à notre faim. De l’autre, mes écoles étaient chères et on m’offrait une belle éducation. Je m’intéressai à la lecture et à l’art, je chantais et dansais avec mes amis. Je vis mes frères peu à peu prendre avantage du dur labeur de mes parents pour devenir avocat, professeur et commissaire de police. Le premier et le dernier refusaient même à traiter avec les employeurs de papa. Du moins jusqu’à ce que la guerre contre la drogue éclate à Tijuana. 2006, il fallait choisir un camp.

Je choisis le mien étrangement quelques années plus tard en 2017. Aussi douce et rêveuse fut la jolie Aleida, elle rêvait de danger et de frissons. Elle voulait connaître ce pic d’adrénaline devant l’imminence du châtiment suprême. Je me mis à voler. A peine mon diplôme en poche, et enregistrée à la faculté d’Histoire d’Art Moderne de Tijuana, certaines de mes connaissances me poussèrent à ce délit.  Ils me montrèrent comme récupérer des systèmes électroniques et je me formai moi-même à cet art par les livres. Je compris comment briser des serrures physiques ou même électroniques, tant qu’elles étaient à ma portée.

Mon amie Trisha, une étudiante américaine toujours prêt à ressentir ce même frisson, m’introduisit dans les casinos de la ville. Je compris très rapidement que les hommes, ivres d’argent et d’alcool, n’avaient d’yeux que de m’impressionner avec mes grands yeux de biche et mon sourire taquin. J’appris rapidement à me jouer d’eux en se montrant séductrice et taquine. Mes gestes doux et mes caresses cachaient cependant la malice de mes doigts fins, volant jetons de crédits, montres et autres objets de luxe. Sous la pression, ma maladresse semblait disparaître et l’excitation d’autant plus grande.

A peine âgée de vingt et un, nous décidâmes de déménager à Veracruz. Etrange choix que … Le bastion du Mexique, la dernière ligne défensive des différents gouvernements qui s’étaient succédé au cours des deux derniers siècles. Il avait fait sa preuve. Mexico avait eu son lot de batailles et de conquêtes mais le militarisme de Veracruz n’avait jamais faibli, quatre fois héroïque. Et qui disait vieilles familles… disait richesses. En effet peu à peu une idée avait germé dans mon esprit. Le vol était une chose que j’aimais, aime, plus que tout. Ainsi que le dit le dicton : « pas vu pas pris ». Et mon talent s’améliorant avec le temps, je visais plus grand. Fortes des compétences de Trisha, diplômée d’ingénierie électronique, et mon audace, nos proies se firent de plus en plus grosses. Rien de reluisant mais… Je faisais désormais parti du monde criminel et mes contacts avec ma famille étaient réduits à peau de chagrin.

Craignant d’être attaquées, nous engageâmes rapidement un mercenaire Nigérien répondant au doux nom de Tkulk qui, malgré ses airs revêches, se trouva être un compagnon loyal tant que bien payé. Trisha se rapprocha également d’un roublard de la contrebande américaine, ayant assez de connaissances pour écouler facilement les marchandises écoulées, un homme nommé « Le Gaucher » de son vrai nom Arthur Morgan. Cet embryon d’équipe s’installa dans les quartiers résidentiels de Veracruz. Mais je rêvais de plus. Du grand casse du siècle.

La cible n’était autre qu’un riche marchand, trafiquant de drogues et entrepreneur de Veracruz. Comme nombre d’hommes et femmes du Mexique, il avait fait fortune en spéculant et en étant impitoyable durant toute son ascension, dévorant sans pitié ses adversaires. Cependant il était désormais difficile d’atteindre le cœur de sa maison ainsi que son coffre. Ne voulant pas baisser les bras, je décidais d’agrandir mon équipe avant de tenter quoique ce soit. Malgré les nombreuses sécurités entourant les plans de l’immense villa que possédait l’homme, Trisha apprit très rapidement que le coffre se trouvait être un complexe souterrain protégé par différents mécanismes tel que plusieurs gardes, un blindage en ruche - comprenant des poches piégées par des explosifs, des gaz neutralisants et autres poisons - et un verrouillage biométrique dernier cri. Ainsi il ne serait pas de tout repos de pénétrer dans la salle sans compter sur la sécurité qu’il fallait éviter. Nous rejoignirent ainsi un ancien expert en explosifs de l’armée afghane, Ali Ben Akdala, écœuré d’avoir été abandonné après de nombreuses années de service auprès des Américains, et une voleuse française, Julie Polas.

Tkulk et Julia se firent engager respectivement comme garde et domestique. Ils apprirent très rapidement les différentes activités du maitre de maison. Outre les différentes sécurités électriques, le coffre-fort celui-ci était gardé par deux hommes et un chien d’attaque. L’équipe mit au point une technique pour neutraliser facilement l’animal avec du poison et Akdala créa une série de faibles explosifs qui permettraient leur fuite par la suite. Restait le problème d’arriver jusqu’à la chambre forte. Je me créais alors le rôle d’une escort des plus douces et charmantes. Trisha réussit, via Arthur, à nous mette en contact avec un invité des riches soirées de notre cible. Durant toute la soirée, je me trouvais aux côtés du marchand, minaudant à ses propos. Jouant l’écervelée, elle réussit à le convaincre de la mener aux salles d’eau.

Dès lors Julie put faire renverser « accidentellement » son plateau sur l’hôte du bal qui dut partir se changer. Profitant du mouvement de gardes qui accompagnaient leur maître, je me glissai dans les souterrains. Dans le même temps, Trisha infiltra violemment, et en ne cherchant pas à se cacher, le système informatique de la villa et brouilla toutes les communications des gardes. Tkulk, de garde au coffre-fort à ce moment-là, paralysa son collègue et donna la nourriture empoisonnée au chien.

L’aventure s’arrêta là pour moi.

Je sais seulement que mes comparses ne furent pas attrapés. Ecervelée, et ivre de gloire, je me perdais dans le complexe souterrain. Pour mieux être cueillie par les gardes de notre cher ami. D’une certaine façon, je mourus ce soir d’été 2021. Des scientifiques douteux, il en courait les rues à cette époque de Covid-19. Les savants fous, eux, restaient le fantasme des complotistes et autres idiots.

Je le croyais.

Pour prix de mes péchés, des mots propres de ma victime devenue tortionnaire, il me confia à un de ces amis proches. Son nom, je ne le connaîtrai jamais. Mes seuls souvenirs furent son laboratoire et les nombreux serpents et autres dérivés à écailles trônant dans des bocaux de formal. Véritable cabinet du Dr Jekyll, je tombais bien vite dans un coma artificiel. Ce que mon corps subit, je ne le sais que trop vaguement. Comment il s’y prit, telle est la raison de mes études.

En tout cas, je me réveillai sur un petit bateau. Froide comme la morte, souffrant le martyr, quelle ne fut la surprise des membres de l’équipage de découvrir le corps qu’ils étaient chargés de rejeter à la mer se relever d’entre les morts. Morte je l’étais à mes yeux. Mon cœur ne bat plus guère que dix battements par second, les cicatrices défigurent mon corps et jour après, les écailles gagnent du terrain. Terrifiés qu’ils étaient, à peu près autant que moi dans ma nudité et la découverte de ma survie, nous parvînmes à un accord. Ils me déposèrent le long d’une plage texanne en l’échange de la promesse que jamais je ne viendrai les hanter.
Commença alors une longue année pour moi. De camps de réfugiés en camps de réfugiés, je finis par me faire de rares amis qui me logèrent et me trouvèrent un emploi. La solidarité mexicaine est merveilleuse, et même si je ne parlais guère, personne ne cherchait à m’imposer un interrogatoire. Six mois, je tombai sur un médecin bénévole. Ce fut la première personne envers qui je m’ouvrai sur mon aventure.

Quelle chance de tomber sur un sorcier d’Eagle Lake. Il reconnut dans mes séquelles une magie brutale, une expérience qui avait bien failli échouer. Il ne sut jamais me dire si j’étais morte, mourante ou une autre créature. Mon protecteur me conseilla simplement de rencontrer les miens au Burton’s Mauseleum. Je compris qu’une fois, enfin, arrivée sur place qui étaient les miens. Laissés pour compte, créatures mortes ou trop étranges pour le commun des mortels, j’étais d’une odieuse normalité pour eux. Pourtant, ils m’acceptèrent comme une des leurs sans réfléchir. Mes six premiers mois à Eagle Lake, je renouai enfin avec une vie douce et paisible. Je m’inscrivis à nouveau à la faculté, aidée par les services sociaux de la ville, en médecin pour étudier mon propre cas. Même si l’origine était magique, je reste persuadée de pouvoir m’en sortir moi-même.

Désormais, je suis une citoyenne spéciale, comme tant d’autres, de la ville. A une différence près, le désir de reprendre mes vieilles habitudes me démange. Jusqu’à je résisterai et apprendrai de mes leçons ? Personne ne saura le dire. Ou m’empêcher de céder à la tentation.

Jaca' le retour du retour
La Despedida
Ca ne se demande
Pensez à surveiller vos porte monnaies les enfants  Twisted Evil
Chamane
Chamane
Admin
Messages postés : 66
Date d'inscription : 10/05/2020
Où es-tu ? : Dans ma grotte
Dévoiler le secret

Carte d'identité
Race: Human
Clan: Sans clan / indépendant
On RP ? : Nope, pas dispo
Revenir en haut Aller en bas
Re: Aleida Santa Cruz, la culebra

Validé.e !





Félicitations ! Tu voilà désormais parmi nous !

Pour mieux tracer ton premier chemin au sein du forum et te recenser un peu partout, nous te recommandons un passage sur les topics suivant :

- Le bottin des avatars
- Le bottin des métiers
- La gestion du personnage
- La boutique des désillusions

Et si cela n'est pas déjà fait, n'hésite pas à nous rejoindre sur notre discord !

Et z'est bartiiiii !
Amuse-toi bien sur TOB  Aleida Santa Cruz, la culebra 3218672308

https://occult-burrow.forumactif.com
Aleida Santa Cruz, la culebra
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Sujets similaires
-
» Aleida Santa Cruz, la culebra
» Aleida Santa Cruz, la culebra

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Occult Burrow :: First of all... :: Pièce d'identité :: Fiches d'enregistrement :: Habitants validés-